Un vide atroce s'installe en moi, je m'ennuis, je mange presque plus, je dors presque plus.
Je fume cigarette sur cigarette en rêvant d'elle pour oublier l'attente, une attente longue et douloureuse, j'ai l'impression de me faire rouer de coups intérieurement, de passer sous un train en même temps. Autant de douleurs, de souffrances, à cause de ton absence.
Ce n'est pas humain.
Chaques choses, chaques gestes me font penser à toi, le temps passe de plus en plus lentement.
Là, il fait nuit.
Je m'allume une autre cigarette en regardant le ciel étoilé, il ne manque plus qu'une étoile à ce ciel pour qu'il soit parfait, cette étoile c'est toi.
On n'a peu de temps à vivre, ce peu de temps, je voudrais le passer avec toi, rien que toi et moi, en oubliant les problèmes, le monde qui nous entoures, ce monde, qui chaque jours, nous ronge notre façon de vivre, notre concience.
Je ferais n'importe quoi, pour être avec toi, entendre le doux son de ta voix, celle que j'aime tant, quand tu exprimes tes sentiments. Je ris, je souris, je pleurs, je perds, mais je ne rennonce jamais, puisque j'ai gagné ton coeur, et j'en suis fière. Fière d'avoir la fille la plus formidable au monde, la plus riche en qualitées, je t'ai toujours aimé.
Toi, tu es un peu comme la nicotine, l'héroïne... Dès qu'on te touche, on n'est envouté, envouté par ton regard, ton sourir, tes bisous, tes calins, ton visage...Tu es digne d'une déesse. Puis quand tu n'est pas là, on n'est manque de tous sa, en manque à en devenir complètement fada. Si tu était vraiment une drogue, je pense que je serais déjà mort d'overdose.
r0v4, Posté le dimanche 20 janvier 2008 11:20
nul bidon